3-Sterne-Hotels in La Penne-sur-Huveaune

Wir sind in diesem Hotel im Rahmen einer Sportreise, weil wir gegen Plan de Cuques spielen und wir kommen aus Brest. Wir sind ein großes Team von 1er Division mit einer großen Zahl von Menschen ca. 24 Personen. Aber die Pflege war ausgezeichnet , wir konnten ein Zimmer für die kinematografische Pflege haben , Zeitpläne für die Mahlzeiten , das Essen war ausgezeichnet und alles zu Hause . Mit frischem Produkt . Die Gastfreundschaft und die Güte waren hier. Wir haben die Gewohnheit, in Hotels 4/5 Sternen zu sein. Und wir haben uns so gefühlt. Alle Mitarbeiter waren auf dem kleinen Pflegeplatz und die Hausfrauen kamen zu dem richtigen Zeitpunkt zu Hause, ohne uns während unseres Schlafes beunruhigt zu machen.

Ambiance infantilisante et tendue. Dès l'arrivée, je me gare entre les deux espaces dédiés aux handicapés, pour accéder à l'accueil, ignorant où me placer, car rien n'est indiqué. Je me fais apostropher assez nerveusement par la conductrice d'une mini, en train de s'en aller, qui me dit que je n'ai rien à faire là car ce n'est pas une place de parking. J'apprends plus tard qu'il s'agit de la gérante du lieu, qui s'est en fait attribué cette ”non place” au quotidien. ”Il y a des règles, mais elles ne s'appliquent pas à moi”. Belle mentalité. Check-in hautement infantilisant, où j'ai l'impression d'une liste de choses à ne pas faire comme ma mère m'en faisait ado. Avec comme tape sur les doigts la caution qui ne me sera pas remboursée ”en cas d'incivilités”. Ce qui ne veut rien dire. Les précisions que l'on m'apporte sur le sujet sont hautement fantaisistes : si mes voisins se plaignent du bruit (délation), si je ne suis pas poli (!), si je fume ou si je vapote (ça, c'est le vrai problème on me l'a répété 5 fois)... Heureusement pour moi, je ne fume ni ne vapote, je suis un modèle de discrétion, et je ne sais pas être ”impoli”. Qui dit caution, dit état des lieux. Réponse ? ”Il a déjà été fait”. La notion d'état des lieux contradictoire est parfaitement étrangère à l'établissement. J'insiste donc pour vraiment faire un état des lieux avec un membre de l'établissement, ce qui semble être une révolution. Je ne comprends pas ce qui empêche les clients de partir avec le four à micro-ondes, la machine à café ou la télévision sous le bras, si personne ne vérifie contradictoirement leur présence : ”allô la réception, je n'ai pas de micro-onde dans l'appartement...”. Il est possible de louer de très grandes surfaces avec table, 4 chaises, vaste canapé, mais il est interdit d'inviter des personnes non clientes (comme ma mère faisait...) selon les fameuses ”feuilles de règles” de l'établissement. Et l'espace ”convivial” bar lounge, ferme dans la soirée. De toute façon y boire un verre seul, c'est limite glauque. Et évitez les chambres 101, 201... Sous peine d'être dérangé dès que quelqu'un rentre ou sort par ce qui s'avère être la porte d'accès principale (ça ressemble bien à une sortie de secours quand même). Pas de stop porte et pas de groom. Curieux de savoir si l'on a retiré la caution de ceux qui claquent la porte aux aurores ou en pleine nuit 😁. À l'état des lieux de sortie (ben oui), le personnel manifeste son étonnement devant la propreté de la chambre, la vaisselle faite et rangée, les serviettes utilisées regroupées... Visiblement la bonne éducation n'est pas l'apanage de la clientèle traditionnelle. Bilan de la chambre ? Literie certainement haut de gamme, mais vraiment fatiguée (elle a été achetée il y a bien trop années), propre en surface (ne pas s'attarder aux détails), design (à bon marché, des pièces commencent à se détacher). L'hôtellerie/location est un métier, dont les bases ne sont ici pas encore acquises par la direction. Point de détai

Nachdem ich auf der Autobahn ins Gefälle gefallen war, hat uns meine Versicherung die Nacht für 4 in diesem Hotel gezahlt. Wir waren sehr gut aufgenommen, die Zimmer waren sauber und schön, die Rezeptoren waren sehr arrangierend und nett, und wir haben uns den ganzen Tag im Rezeptionsraum lassen, bis wir das Auto zurückholen. Ich empfehle es.