Ibis Marseille Timone Bewertungen

First, je ne remettrai plus jamais le pied dans cet hôtel. Il est quasiment insalubre, les murs de la chambre sont sales et par hasard la clim était en panne. Nous avons réservé plus d’un mois en avance avec séjour prépayé. Et a aucun moment nous n’avons reçu l information concernant ce problème. A notre arrivée, l’hôtesse nous informe du problème en précisant qu il ne sera résolu que la semaine d’après sachant que nous allions rester durant la semaine. En contrepartie elle nous offre le petit déjeuner en guise de geste commercial (que nous avons pris qu’une seule fois durant notre séjour) et elle nous a proposé de nous donner un ventilateur dès qu’un se libère (la première nuit nous avons pas pu dormir en raison de la chaleur) et elle a pu nous dénicher un le jour suivant (qui était plus que sale avec de la poussière ce qui m a crée des problèmes de santé étant donné que je suis asthmatique). Je tiens à préciser que l’étoile que j ai mise est spéciale à l’hôtesse qui nous a accueilli le soir du 01/07 (vers 23h je pense), un grand merci pour elle et pour sa gentillesse. Concernant le distributeur d’eau qui était défaillant et prenait les sous sans remette le produit. Alors là on a perdu des 2 euros je pense sans aucune importance et sans faire de réclamation. Mais on a rencontré chaque jour des clients qui venaient réclamer pour le distributeur et là je décide d’attirer l’attention du garçon à l accueil pour lui dire qu’on a aussi eu le même problème et qu il faudra le régler. Et là il m a dit c était quand je lui est la nuit du lundi au mardi et qu on a perdu tant et lui il hausse ses épaules en m ignorant. Après je lui ai demandé quelle est la procédure il ne me répond pas puis j insisté et il me dit franchement pour 2 eur. La je lui ai dit forcément pas c est pour le principe. En hôtellerie on ne reste pas de marbre quand il s agit de service à la clientèle. Franchement ce garçon n a rien à avoir avec le service client et manque de maniere franchement (ne répond jamais au bonsoir). On parle même pas de la literie Bref à fuir