Hotel Danieli Pozzallo

Hotel ben gestito e pulito, bellissimo il prato all'inglese che circonda gli immobili. Bella la stanza. Ubicato nella parte nord di Pozzallo con pochi servizi raggiungibili a piedi . Noi con auto al seguito siamo riusciti facilmente ad arrivare in paese ed alla spiaggia. Inoltre c'erano dei gatti bellissimi che facevano le fusa a chiunque .

The hotel as such seemed very nice and well kept. It’s in a quite area with ample parking spaces. Room was good sized and seemed clean. TV was not working and only realised at around 10pm. The breakfast was the worst experience ever. There were ants all over the breakfast table. Also we had to ask for coffee. It’s a real shame because the place is nice.

Une honte ! Vous payez un séjour d’une semaine et vous ne disposez même pas des commodités prévues dans l’hôtel. En effet, l’hôtel préfère réserver ses parasols et transats aux personnes externes à l’hôtel. Résultat ? Lorsque vous demandez à la réception d’avoir un parasol on vous répond de vous mettre sous un arbre !!! Aberrant pour un 4* n’est ce pas ?! La réceptionniste vous répondra qu’elle fait ce qu’elle veut. De plus, les espaces extérieurs ne sont pas entretenus (mauvaises herbes tout autour de la terrasse de la piscine). Pas de service à l’extérieur. Personne ne vient vous proposer à boire, vous devez vous même aller demander à l’intérieur si vous avez soif. Lorsque on vous amène votre verre, il n’y a même pas une petite table pour le déposer. Et lorsque vous avez terminé, votre emplacement n’est pas débarrassé et ce, même 3h après avoir terminé. Le nettoyage de la piscine est fait à 9h00 du matin, pile quand les vacanciers souhaitent y aller. Le petit déjeuner laisse vraiment à désirer, pas de choix et produits qui ne sont pas de qualité. Si vous êtes intolérants fuyez également… La chambre est correct mais nous avions des fourmis dans la douche et dans le lavabo de la salle de bain. Quant à la sécurité de l’hôtel, n’importe qui peut s’introduire dans l’hôtel à n’importe quel moment de la nuit. Je ne mettrai plus jamais un pied dans cet hôtel qui est à fuir.